Et la tête?

Entre deux personne au même niveau de préparation physique c’est la tête qui fait la différence.

Il est très difficile de donner des indications sur la façon dont vous pouvez vous préparer mentalement pour une expérience en haute altitude, sutout parce que dans cette «formation» entrent en jeu des situations personnelles, des expériences ou des non expériences précédentes en montagne. Avoir la tête veut dire être capable de fixé des objectifs, à court ou à long terme, à son niveau, et, canaliser toutes nos énergies pour atteindre ces objectifs.

Exemple, les 6000 mètres des Andes sont à la portée de tous, mais avant de tenter l’ascension d’un 6000 mt serait bien de faire de l’expérience sur des montagnes moins haute et peut-être même plus difficile techniquement. Ces expériences vous permettent d’acquérir les connaissances techniques nécessaires et une meilleure tranquillité psychologique.

Bien que les expériences de vie personnelles influent beaucoup dans “sur l’avoir la tête” parce que généralement ceux qui ont vecu, mentalement et physiquement, une expérience de vie “dure” ont normalement une plus grande prédisposition à avoir plus la “tête”.

L’un des problèmes qui touchent le plus la tête et que vous pouvez avoir dans ces voyages est le fait qu’on est loin de la maison, de vos amours, de la routine quotidienne etc. Si dans un premier temps ces absences peuvent être des instant de relaxations, dès que surviennent des petits problèmes ou des situations difficiles ses absences se transforment plutôt en des rochers qui affectent la capacité de s’engager à fond dans ce que nous devont accomplir.

Une grande aide pour avoir la tête, en plus de la préparation et de l’expérience menée sur les Alpes, est de débranchez le câble du quotidien et de vivre selon les rythmes et la culture locale.

Nous laissons nos habitudes et rythmes stressés en Europe et nous apprécions tout ce que le voyage peut nous donner.

Rappelez-vous que la haute altitude vous oblige à faire les choses plus calmement parce que le manque d’oxygène on le sent, et alors pourquoi ne pas vivre dès le début d’une manière plus détendue et relaxante. Si déjà nous réussisont à vivre paisiblementle le début du voyage notre tête parviendra à être moins stressés et donc plus sensible et rationnelle quand nous aurons vraiment besoin de la force mentale pour réussir dans nos intentions.